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Pour commencer, l’examen se déroule à travers une discussion avec un psychiatre. L’histoire personnelle et familiale du patient sera pris en compte dans le but d’essayer de mieux connaître le patient, les difficultés rencontrées, les circonstances qui ont conduit au trouble. Elle permettra notamment d’évaluer l’état du patient et ainsi appliquer la pharmacothérapie appropriée pour les traitements de la dépendance. Pendant l’intégralité du traitement, le psychiatre mène des entretiens quotidiens avec le patient. Dans ce cas, il surveille l’état et l’efficacité des procédures, de la psychothérapie et de la pharmacothérapie.
Avant tout et après l’admission du patient à la clinique, des tests sanguins sont effectués. C’est à dire : numération sanguine complète, analyses biochimiques, analyses pour les virus du VIH et des hépatites, ainsi que des analyses approfondies si indiqué. En plus des analyses de sang en laboratoire, des analyses d’urine sont également effectuées.
Un spécialiste en médecine interne examinera chaque patient à son admission dans le but de déterminer les indications, mais aussi les contre-indications aux procédures de la clinique, liées au programme des traitements de la dépendance.
Immédiatement après l’admission, et sur la base de l’examen interne, un spécialiste en médecine interne détermine les procédures de diagnostics supplémentaires. Ainsi, nous déterminerons les indications et les contre-indications des traitements de la dépendance. Ces procedures comprennent : L’échographie abdominale et cardiaque, l’ECG, Doppler vasculaire. Si nécessaire, Il sera realisé des procédures supplémentaires (IRM, scanner, radiographie, gastroscopie, etc.). Elles n’appartiennent pas au programme standard, et sont réalisées sur recommandation d’un médecin et en accord avec la famille.
Tests psychologiques qui impliquent l’utilisation de tests pour évaluer les fonctions cognitives, l’évaluation de la personnalité au moyen de tests psychologiques structurés et de techniques projectives. En collaboration avec un psychologue et un pédagogue spécialisé, nous évaluons l’état psychologique du patient, sur la base duquel nous déterminons l’approche psychothérapeutique du traitement individuel pour chaque patient.
Les traitements de la dépendance impliquent une combinaison de pharmacothérapie et de psychothérapie. Plus précisément, les médicaments de base pour le traitement sont les antidépresseurs. Ce sont principalement des antidepresseurs qui appartiennent au groupe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine. En revanche, les sédatifs ne sont inclus qu’au début et sont rapidement éliminés du traitement. En effet, ces traitements ont un très grand potentiel de développement d’une dépendance s’ils sont pris pendant une trop longue période et sans contrôle.
Dans le cadre du traitement des troubles anxieux, la thérapie “cognitive et comportementale“ est la méthode la plus appropriée. Pour cela, nous enseignons au patient des techniques d’auto-assistance, des exercices de respiration et de méditation guidée. De plus, nous trouvons des moyens de contrôler les peurs sans médicaments. Le travail avec des psychologues de différentes écoles et approches et des pédagogues spécialisés, vise à changer les opinions et les habitudes liés au trouble. Sur la base de ces opinions et habitudes, ce travail portera aussi sur les changements de comportement. Ainsi, ce travail sera d’une importance cruciale dans la période de réadaptation afin de maintenir un état mental stable. Dans cet esprit, nous tendons à modifier l’angle de vision du futur du patient après le traitement, ainsi que celui de son passé.
Nous proposons au patient une méthode mis en place par un psychologue et un defectologue spécialisé avec des procédures psychologiques. Ces procedures visent à renforcer les compétences et comportements positifs et les mécanismes de defence. De plus, ces procédures comprennent un travail psychothérapeutique assisté par une pharmacothérapie. Il s’agit de créer un réflexe conditionné d’aversion au produit habituellement consommé- (procédures aversives). Une combinaison de séances de psychothérapie avec perfusion intraveineuse de « transmédiators », permet d’augmenter le potentiel de la psychothérapie au niveau maximum. Ansi, nos spécialistes agissent de manière suggestive sur le subconscient du patient.
Pendant les traitements de la dépendance et sur une base d’évaluations préalablement faites, un psychologue et un defectologue spécialisé, forment le patient ainsi que sa famille aux troubles liés à sa consommation. La formation comprend premierement l’examen du trouble d’un point de vue médical. Ensuite, la reconnaissance des déclencheurs qui ont introduit et maintenu le patient dépendant du produit. Enfin, l’examen des conséquences directes. A savoir que la partie clé de la formation est liée à la partie rééducation qui commence après le traitement en clinique. C’est-à-dire la partie dite ambulatoire qui dure l’année suivante.
Hôpital pour le traitement des dépendances MedTiM
heures d’ouverture et accueil des
patients chaque jour de 00 à 24h
Mettez votre vie sur la bonne voie
Pour une cure de 7 jours (en cas de rechute), le prix du soin comprend :
Chaque jour, le patient reçoit des perfusions contenant des complexes de vitamines
et des acides aminés qui aident à la désintoxication.
La désintoxication ultra rapide est la première étape des traitements de la dépendance aux opiacés. De surcroît, cette procédure est très importante pour prévenir la survenue de rechutes causées par des crises physiques.
En plus des procédures de désintoxication, une pharmacothérapie est prévue pour soutenir l’abstinence à long terme de l’utilisation opiacés. A savoir que la méthode de désintoxication aide le corps à se débarrasser des opiacés de manière plus rapide et sans douleur.
Une anesthésie générale ou sédation forte en unité de soins intensifs permet le deroulement de la procedure UROD. A noter qu’elle dure de 6 à 8 heures. De plus, dans le processus de désintoxication ultra-rapide, l’utilisation d’injections en bolus de très fortes doses d’antagonistes des opiacés (naloxone) complete la désintoxication aux opiacés. Un anesthésiste réalise la procédure UROD.
Dans le cadre des traitements de la dépendance aux psychostimulants, le patient suit des procédures avec un psychologue et un defectologue spécialisé pour la dépendance mentale. Ces procédures réduisent le besoin urgent de l’effet du psychostimulant. Elles comprennent un travail psychothérapeutique assisté par une pharmacothérapie. Il s’agira de créer des réflexes-aversives de « dégoût » aux psychostimulants. Une combinaison de séance de psychothérapie avec une perfusion intraveineuse de « transmédiators », permettra d’augmenter le potentiel de psychothérapie au niveau maximum. Ces médicaments assistent la psychothérapie et elle agira ainsi de manière suggestive sur le subconscient du patient.
A la fin des traitements de la dépendance, chaque patient reçoit un implant liquide (injection). L’effet de l’injection dure 28 jours, après quoi le patient doit recevoir à nouveau la même dose pendant les 28 jours suivants. A souligner qu’Il est recommandé de prendre ce qu’on appelle un bloqueur l’année qui suit car c’est un exellent barrage mental et physique contre d’éventuelles crises psychologiques pouvant conduire à une rechute. En plus des bloqueurs, une pharmacothérapie appropriée est prescrite au patient et nous lui recommandons de poursuivre la psychothérapie. S’il existe des contre-indications au bloqueur, nous prescrirons au patient des comprimés dont l’effet dure 24 heures. Ils seront pris en complément du traitement régulier prescrit par le psychiatre à la fin du traitement hospitalier. Le premier bloqueur est inclus dans le prix du traitement.
À la fin des traitements de la dépendance, chaque patient ayant subi une détox et un contrôle pour vérifier si le corps est débarrassé des opiacés reçoit un implant liquide de naltrexone. L’effet de l’injection dure 30 jours, après quoi le patient doit recevoir à nouveau la même dose pendant les 30 jours suivants. Il est recommandé de prendre ce qu’on appelle un bloqueur l’année suivante car c’est un excellent barrage non seulement physique mais aussi mental contre d’éventuelles crises psychologiques pouvant conduire à une rechute. En plus des bloqueurs, une pharmacothérapie appropriéele est prescrite au patient et nous lui recommandons de poursuivre la psychothérapie. S’il existe des contre-indications à l’injection de naltrexone, nous prescrirons au patient des comprimés dont l’effet dure 24 heures. Ils seront pris en association avec un traitement régulier prescrit par le psychiatre à la fin du traitement hospitalier. Le premier bloqueur est inclus dans le prix du traitement.
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